Cela faisait quelques temps que j'avais eut connaissance de l'arrestation de mon compagnon. J'avais eut vent par une connaissance commune que son domicile avait été fouillé. Mais celle-ci n'avait put me donner plus d'informations. Et, en toute franchise, comme celle-ci aimait exagérer les faits, j'avais du mal à la croire. Samantha aimait se mettre en avant ou raconter des bobards. Mais je ne voyais pour quelle raison celle-ci m'aurait menti. Par ailleurs, je ne savais absolument pas pourquoi l'homme que j'aimais avait été arrêté. Mais s'il n'était toujours pas relâché, c'était qu'il y avait anguille sous roche...
Un collègue à qui je m'étais confiée m'avait conseillé de prendre de suite un avocat. Je lui avais rétorqué que cela pouvait être suspect. Lui m'avait répondu que dans le cas où je n'avais pas d'avocat, les policiers s'en mettrait les mains dans les poches pour me faire avouer toutes sortes de choses, même fausses, tant que cela servait l'affaire en question. Il faut que tu te protèges avant tout m'avait-il rétorqué lorsque j'avais eut l'audace de plaindre mon amoureux.
Après une longue recherche, je m'étais demandée qui j'allais pouvoir engager. Il y avait tellement d'avocats que c'en était assez dingue! Je ne savais où me donner de la tête. Ce fut pour une fois mon frère, qui me sauva en m’appelant hier. Assez honteuse, je lui parlais de mon problème. Il m'avait dit que son assistant me rappellerait avec les coordonnées d'un avocat pour les Supers mais dont il n'avait plus le nom.
Ce fut chose fait ce matin à 3 heures du matin. Un sms me tira de mon sms, me livrant l'adresse du cabinet en question avec le nom de l'avocate. Mon planning était fait! J'allais passer faire une petite visite chez cette madame Sørensen. Et puis j'irais voir ce qu'il était de l'état de mon compagnon. Je mis mon réveil pour huit heures du matin, me laissant emporter pour le marchand de sable.
Me laissant le temps d'émerger de mon sommeil malgré le sommeil, je reçus un sms. En dépit mes bonnes résolutions, la compagnie aérienne m'avertit que je devais être présente pour un vol à 15h37. Cela n'aurait pas été grand chose pour un simple passager, mais je me devais d'être présente bien avant l'heure en question. Au moins vers midi. Cruel dilemme. Fallait-il que j'aille d'abord voir l'homme qui faisait battre mon cœur ou bien l'avocate ?
Je regardais mon portable. Il était 10h37. J'avais le temps pour ne faire qu'une seule chose. Et Benjamin m'aurait plus que persuadé d'aller voir cette avocate avant d'aller le voir. Mais peut-être qu'aller le voir avant permettrait d'éclaircir les choses... En voyant mon reflet dans la glace, je me souvenais d'une chose. J'étais une Super. Une personne dotée. Et surtout, j'avais déjà recensé mon don. On pouvait m'accuser de n'importe quoi sous le fait que je pouvais m'évaporer dans l'air tout simplement. Je me mordis la lèvre supérieure et prépara mon sac en quelques minutes. Je m'installa au volant de ma voiture et démarra en direction du cabinet. Le trajet me pris plus d'une vingtaine de minutes. Je regardai mon portable qui afficha 11h07. Arrêtée dans un parking, à quelques mètres du cabinet, je réfléchissais. Est-ce qu'aller voir un avocat ne faisait pas de moi une suspecte ?
Finalement, après quelques minutes de réflexion, je sortis de ma voiture, la ferma et alla dans le cabinet. Je demandai à voir Mme Sørensen. On m'indiqua le bureau. Je restais un instant avant de frapper à la porte, 3 coups. Puis, j’entrouvris la porte, jusqu'à faire apparaître simplement le haut de mon corps.
Je ne savais si je pouvais encore rentrer entièrement ou s'il me fallait attendre encore un peu à l'extérieur de son bureau. C'était quoi l'éthique de ce cabinet ?
Un collègue à qui je m'étais confiée m'avait conseillé de prendre de suite un avocat. Je lui avais rétorqué que cela pouvait être suspect. Lui m'avait répondu que dans le cas où je n'avais pas d'avocat, les policiers s'en mettrait les mains dans les poches pour me faire avouer toutes sortes de choses, même fausses, tant que cela servait l'affaire en question. Il faut que tu te protèges avant tout m'avait-il rétorqué lorsque j'avais eut l'audace de plaindre mon amoureux.
Après une longue recherche, je m'étais demandée qui j'allais pouvoir engager. Il y avait tellement d'avocats que c'en était assez dingue! Je ne savais où me donner de la tête. Ce fut pour une fois mon frère, qui me sauva en m’appelant hier. Assez honteuse, je lui parlais de mon problème. Il m'avait dit que son assistant me rappellerait avec les coordonnées d'un avocat pour les Supers mais dont il n'avait plus le nom.
Ce fut chose fait ce matin à 3 heures du matin. Un sms me tira de mon sms, me livrant l'adresse du cabinet en question avec le nom de l'avocate. Mon planning était fait! J'allais passer faire une petite visite chez cette madame Sørensen. Et puis j'irais voir ce qu'il était de l'état de mon compagnon. Je mis mon réveil pour huit heures du matin, me laissant emporter pour le marchand de sable.
Me laissant le temps d'émerger de mon sommeil malgré le sommeil, je reçus un sms. En dépit mes bonnes résolutions, la compagnie aérienne m'avertit que je devais être présente pour un vol à 15h37. Cela n'aurait pas été grand chose pour un simple passager, mais je me devais d'être présente bien avant l'heure en question. Au moins vers midi. Cruel dilemme. Fallait-il que j'aille d'abord voir l'homme qui faisait battre mon cœur ou bien l'avocate ?
Je regardais mon portable. Il était 10h37. J'avais le temps pour ne faire qu'une seule chose. Et Benjamin m'aurait plus que persuadé d'aller voir cette avocate avant d'aller le voir. Mais peut-être qu'aller le voir avant permettrait d'éclaircir les choses... En voyant mon reflet dans la glace, je me souvenais d'une chose. J'étais une Super. Une personne dotée. Et surtout, j'avais déjà recensé mon don. On pouvait m'accuser de n'importe quoi sous le fait que je pouvais m'évaporer dans l'air tout simplement. Je me mordis la lèvre supérieure et prépara mon sac en quelques minutes. Je m'installa au volant de ma voiture et démarra en direction du cabinet. Le trajet me pris plus d'une vingtaine de minutes. Je regardai mon portable qui afficha 11h07. Arrêtée dans un parking, à quelques mètres du cabinet, je réfléchissais. Est-ce qu'aller voir un avocat ne faisait pas de moi une suspecte ?
Finalement, après quelques minutes de réflexion, je sortis de ma voiture, la ferma et alla dans le cabinet. Je demandai à voir Mme Sørensen. On m'indiqua le bureau. Je restais un instant avant de frapper à la porte, 3 coups. Puis, j’entrouvris la porte, jusqu'à faire apparaître simplement le haut de mon corps.
«Bonjour, excusez-moi madame Sørensen. Je suis madame Anderson, je viens pour obtenir des conseils et...éventuellement embaucher un avocat.» dis-je avec une pointe d'hésitation dans ma voix.
Je ne savais si je pouvais encore rentrer entièrement ou s'il me fallait attendre encore un peu à l'extérieur de son bureau. C'était quoi l'éthique de ce cabinet ?